https://www.facebook.com/autre150e/videos/1492075964192843/
En 1854, le Traité de réciprocité encourage les transactions entre les États-Unis et le Canada de l’époque. Encouragé par Londres et son voisin américain, le gouvernement canadien déclare Gaspé port franc, la principale porte d’entrée à l’est de ses frontières, qui consistent essentiellement au Québec et au sud de l’Ontario actuelle.
Gaspé se développe rapidement et son nouveau statut amène dix consulats à s’y établir, notamment le Brésil, l’Italie, l’Espagne et la Norvège.
L’essor de Gaspé se poursuit jusqu’en 1866, quand les rapports économiques avec les États-Unis se détériorent en raison de l’appui des Britanniques aux rebelles sudistes lors de la guerre de Sécession.
Parallèlement, l’idée germe alors de créer un nouveau pays. Le Québec, l’Ontario, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick entament des négociations en vue d’une union et les futures provinces posent leurs conditions.
La zone franche de Gaspé devient l’une des conditions fondamentales de l’accord.
La Nouvelle-Écosse exige un train qui va relier Halifax à Montréal et Toronto, afin que la ville devienne le nouveau port le plus important à l’est de la « confédération ». Sa demande est acceptée par Londres et le train est opérationnel dès 1871.
En conséquence, les Maritimes vont pouvoir se développer alors que la péninsule gaspésienne se retrouve isolée : on ferme le porc franc de Gaspé et la ville ne sera reliée au réseau ferroviaire qu’en 1911.
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En 1854, le Traité de réciprocité encourage les transactions entre les États-Unis et le Canada de l’époque. Encouragé par Londres et son voisin américain, le gouvernement canadien déclare Gaspé port franc, la principale porte d’entrée à l’est de ses frontières, qui consistent essentiellement au Québec et au sud de l’Ontario actuelle.
Gaspé se développe rapidement et son nouveau statut amène dix consulats à s’y établir, notamment le Brésil, l’Italie, l’Espagne et la Norvège.
L’essor de Gaspé se poursuit jusqu’en 1866, quand les rapports économiques avec les États-Unis se détériorent en raison de l’appui des Britanniques aux rebelles sudistes lors de la guerre de Sécession.
Parallèlement, l’idée germe alors de créer un nouveau pays. Le Québec, l’Ontario, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick entament des négociations en vue d’une union et les futures provinces posent leurs conditions.
La zone franche de Gaspé devient l’une des conditions fondamentales de l’accord.
La Nouvelle-Écosse exige un train qui va relier Halifax à Montréal et Toronto, afin que la ville devienne le nouveau port le plus important à l’est de la « confédération ». Sa demande est acceptée par Londres et le train est opérationnel dès 1871.
En conséquence, les Maritimes vont pouvoir se développer alors que la péninsule gaspésienne se retrouve isolée : on ferme le porc franc de Gaspé et la ville ne sera reliée au réseau ferroviaire qu’en 1911.
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En 1854, le Traité de réciprocité encourage les transactions entre les États-Unis et le Canada de l’époque. Encouragé par Londres et son voisin américain, le gouvernement canadien déclare Gaspé port franc, la principale porte d’entrée à l’est de ses frontières, qui consistent essentiellement au Québec et au sud de l’Ontario actuelle.
Gaspé se développe rapidement et son nouveau statut amène dix consulats à s’y établir, notamment le Brésil, l’Italie, l’Espagne et la Norvège.
L’essor de Gaspé se poursuit jusqu’en 1866, quand les rapports économiques avec les États-Unis se détériorent en raison de l’appui des Britanniques aux rebelles sudistes lors de la guerre de Sécession.
Parallèlement, l’idée germe alors de créer un nouveau pays. Le Québec, l’Ontario, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick entament des négociations en vue d’une union et les futures provinces posent leurs conditions.
La zone franche de Gaspé devient l’une des conditions fondamentales de l’accord.
La Nouvelle-Écosse exige un train qui va relier Halifax à Montréal et Toronto, afin que la ville devienne le nouveau port le plus important à l’est de la « confédération ». Sa demande est acceptée par Londres et le train est opérationnel dès 1871.
En conséquence, les Maritimes vont pouvoir se développer alors que la péninsule gaspésienne se retrouve isolée : on ferme le porc franc de Gaspé et la ville ne sera reliée au réseau ferroviaire qu’en 1911.
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En 1854, le Traité de réciprocité encourage les transactions entre les États-Unis et le Canada de l’époque. Encouragé par Londres et son voisin américain, le gouvernement canadien déclare Gaspé port franc, la principale porte d’entrée à l’est de ses frontières, qui consistent essentiellement au Québec et au sud de l’Ontario actuelle.
Gaspé se développe rapidement et son nouveau statut amène dix consulats à s’y établir, notamment le Brésil, l’Italie, l’Espagne et la Norvège.
L’essor de Gaspé se poursuit jusqu’en 1866, quand les rapports économiques avec les États-Unis se détériorent en raison de l’appui des Britanniques aux rebelles sudistes lors de la guerre de Sécession.
Parallèlement, l’idée germe alors de créer un nouveau pays. Le Québec, l’Ontario, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick entament des négociations en vue d’une union et les futures provinces posent leurs conditions.
La zone franche de Gaspé devient l’une des conditions fondamentales de l’accord.
La Nouvelle-Écosse exige un train qui va relier Halifax à Montréal et Toronto, afin que la ville devienne le nouveau port le plus important à l’est de la « confédération ». Sa demande est acceptée par Londres et le train est opérationnel dès 1871.
En conséquence, les Maritimes vont pouvoir se développer alors que la péninsule gaspésienne se retrouve isolée : on ferme le porc franc de Gaspé et la ville ne sera reliée au réseau ferroviaire qu’en 1911.
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En 1854, le Traité de réciprocité encourage les transactions entre les États-Unis et le Canada de l’époque. Encouragé par Londres et son voisin américain, le gouvernement canadien déclare Gaspé port franc, la principale porte d’entrée à l’est de ses frontières, qui consistent essentiellement au Québec et au sud de l’Ontario actuelle.
Gaspé se développe rapidement et son nouveau statut amène dix consulats à s’y établir, notamment le Brésil, l’Italie, l’Espagne et la Norvège.
L’essor de Gaspé se poursuit jusqu’en 1866, quand les rapports économiques avec les États-Unis se détériorent en raison de l’appui des Britanniques aux rebelles sudistes lors de la guerre de Sécession.
Parallèlement, l’idée germe alors de créer un nouveau pays. Le Québec, l’Ontario, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick entament des négociations en vue d’une union et les futures provinces posent leurs conditions.
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En conséquence, les Maritimes vont pouvoir se développer alors que la péninsule gaspésienne se retrouve isolée : on ferme le porc franc de Gaspé et la ville ne sera reliée au réseau ferroviaire qu’en 1911.