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Série d'événements Série d'événement : 1876

1876

août 22, 2025 - août 23, 2025

indiens

23 août 1876
Réserves, traités et pensionnats : une politique de génocide culturel à l’égard des Autochtones?

https://www.facebook.com/autre150e/videos/1470637863003320/

Le 23 août 1876, le gouvernement du Canada signe le sixième de 11 traités visant à déposséder les Autochtones de leurs terres, sur les anciens territoires appartenant à la Compagnie de la Baie-d’Hudson : la Terre de Rupert et le Territoire du Nord-Ouest. La même année, le Parlement du Canada adopte la Loi sur les Indiens. Un rapport du ministère de l’Intérieur stipule les objectifs de cette politique : «Notre législation au sujet des Sauvages, repose sur le principe que les naturels du pays doivent être tenus en état de tutelle, et qu’ils doivent être traités comme des pupilles et des enfants de l’État. […] Il est évidemment de bonne politique et de notre devoir de les préparer par l’éducation et par tout autre moyen, à un degré de civilisation plus élevé en les encourageant à se prévaloir de tous les droits de citoyens, et à en assumer les obligations.»

Cette volonté d’acculer les Autochtones à se fondre à la population canadienne atteint un point culminant avec la mise sur pied de «pensionnats autochtones» dans lesquels on regroupe les jeunes après les avoir arrachés à leur famille. En 2015, la juge en chef de la Cour suprême du Canada, Beverley McLachlin, n’a pas hésité à qualifier l’ensemble de cette politique de «génocide culturel».

En 1969, Pierre Elliott Trudeau et son ministre Jean Chrétien veulent officialiser l’assimilation des peuples autochtones en abolissant tout bonnement les réserves et le statut d’Indien. Les premiers intéressés ne voient pas la chose du même œil. Ils réclament le respect de leurs droits ancestraux et une autonomie gouvernementale. La politique du gouvernement canadien s’est assouplie depuis, mais les réserves et la Loi sur les Indiens existent toujours.

Entre-temps, une politique québécoise des relations avec les Autochtones du Québec prend forme. Tout dialogue avec une des nations autochtones doit débuter en réitérant le droit des 11 nations autochtones du Québec à l’existence et à la pérennité de leurs cultures, de leurs langues et de leurs traditions.

 

Pour en savoir plus :

Acte pour amender ou refondre les lois sur les Sauvages, 12 avril 1876, [en ligne]. [http://www.uqac.ca/…/upl…/2012/07/LoiIndiens1876Francais.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

SECRÉTARIAT AUX AFFAIRES AUTOCHTONES, « Moments marquants », [en ligne]. [https://www.autochtones.gouv.qc.ca/re…/moments-marquants.htm] (consulté 16 juillet 2017).

AFFAIRES AUTOCHTONES. ORIENTATIONS DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, Partenariat. Développement. Action. 1998, [en ligne]. [https://www.cerp.gouv.qc.ca/…/Documents_deposes_…/P-024A.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Détails

Début :
août 22, 2025
Fin :
août 23, 2025
Série :
Catégorie d’Évènement:
indiens

23 août 1876
Réserves, traités et pensionnats : une politique de génocide culturel à l’égard des Autochtones?

https://www.facebook.com/autre150e/videos/1470637863003320/

Le 23 août 1876, le gouvernement du Canada signe le sixième de 11 traités visant à déposséder les Autochtones de leurs terres, sur les anciens territoires appartenant à la Compagnie de la Baie-d’Hudson : la Terre de Rupert et le Territoire du Nord-Ouest. La même année, le Parlement du Canada adopte la Loi sur les Indiens. Un rapport du ministère de l’Intérieur stipule les objectifs de cette politique : «Notre législation au sujet des Sauvages, repose sur le principe que les naturels du pays doivent être tenus en état de tutelle, et qu’ils doivent être traités comme des pupilles et des enfants de l’État. […] Il est évidemment de bonne politique et de notre devoir de les préparer par l’éducation et par tout autre moyen, à un degré de civilisation plus élevé en les encourageant à se prévaloir de tous les droits de citoyens, et à en assumer les obligations.»

Cette volonté d’acculer les Autochtones à se fondre à la population canadienne atteint un point culminant avec la mise sur pied de «pensionnats autochtones» dans lesquels on regroupe les jeunes après les avoir arrachés à leur famille. En 2015, la juge en chef de la Cour suprême du Canada, Beverley McLachlin, n’a pas hésité à qualifier l’ensemble de cette politique de «génocide culturel».

En 1969, Pierre Elliott Trudeau et son ministre Jean Chrétien veulent officialiser l’assimilation des peuples autochtones en abolissant tout bonnement les réserves et le statut d’Indien. Les premiers intéressés ne voient pas la chose du même œil. Ils réclament le respect de leurs droits ancestraux et une autonomie gouvernementale. La politique du gouvernement canadien s’est assouplie depuis, mais les réserves et la Loi sur les Indiens existent toujours.

Entre-temps, une politique québécoise des relations avec les Autochtones du Québec prend forme. Tout dialogue avec une des nations autochtones doit débuter en réitérant le droit des 11 nations autochtones du Québec à l’existence et à la pérennité de leurs cultures, de leurs langues et de leurs traditions.

 

Pour en savoir plus :

Acte pour amender ou refondre les lois sur les Sauvages, 12 avril 1876, [en ligne]. [http://www.uqac.ca/…/upl…/2012/07/LoiIndiens1876Francais.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

SECRÉTARIAT AUX AFFAIRES AUTOCHTONES, « Moments marquants », [en ligne]. [https://www.autochtones.gouv.qc.ca/re…/moments-marquants.htm] (consulté 16 juillet 2017).

AFFAIRES AUTOCHTONES. ORIENTATIONS DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, Partenariat. Développement. Action. 1998, [en ligne]. [https://www.cerp.gouv.qc.ca/…/Documents_deposes_…/P-024A.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Début :
août 22, 2026
Fin :
août 23, 2026
Série :
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indiens

23 août 1876
Réserves, traités et pensionnats : une politique de génocide culturel à l’égard des Autochtones?

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Le 23 août 1876, le gouvernement du Canada signe le sixième de 11 traités visant à déposséder les Autochtones de leurs terres, sur les anciens territoires appartenant à la Compagnie de la Baie-d’Hudson : la Terre de Rupert et le Territoire du Nord-Ouest. La même année, le Parlement du Canada adopte la Loi sur les Indiens. Un rapport du ministère de l’Intérieur stipule les objectifs de cette politique : «Notre législation au sujet des Sauvages, repose sur le principe que les naturels du pays doivent être tenus en état de tutelle, et qu’ils doivent être traités comme des pupilles et des enfants de l’État. […] Il est évidemment de bonne politique et de notre devoir de les préparer par l’éducation et par tout autre moyen, à un degré de civilisation plus élevé en les encourageant à se prévaloir de tous les droits de citoyens, et à en assumer les obligations.»

Cette volonté d’acculer les Autochtones à se fondre à la population canadienne atteint un point culminant avec la mise sur pied de «pensionnats autochtones» dans lesquels on regroupe les jeunes après les avoir arrachés à leur famille. En 2015, la juge en chef de la Cour suprême du Canada, Beverley McLachlin, n’a pas hésité à qualifier l’ensemble de cette politique de «génocide culturel».

En 1969, Pierre Elliott Trudeau et son ministre Jean Chrétien veulent officialiser l’assimilation des peuples autochtones en abolissant tout bonnement les réserves et le statut d’Indien. Les premiers intéressés ne voient pas la chose du même œil. Ils réclament le respect de leurs droits ancestraux et une autonomie gouvernementale. La politique du gouvernement canadien s’est assouplie depuis, mais les réserves et la Loi sur les Indiens existent toujours.

Entre-temps, une politique québécoise des relations avec les Autochtones du Québec prend forme. Tout dialogue avec une des nations autochtones doit débuter en réitérant le droit des 11 nations autochtones du Québec à l’existence et à la pérennité de leurs cultures, de leurs langues et de leurs traditions.

 

Pour en savoir plus :

Acte pour amender ou refondre les lois sur les Sauvages, 12 avril 1876, [en ligne]. [http://www.uqac.ca/…/upl…/2012/07/LoiIndiens1876Francais.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

SECRÉTARIAT AUX AFFAIRES AUTOCHTONES, « Moments marquants », [en ligne]. [https://www.autochtones.gouv.qc.ca/re…/moments-marquants.htm] (consulté 16 juillet 2017).

AFFAIRES AUTOCHTONES. ORIENTATIONS DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, Partenariat. Développement. Action. 1998, [en ligne]. [https://www.cerp.gouv.qc.ca/…/Documents_deposes_…/P-024A.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Début :
août 22, 2027
Fin :
août 23, 2027
Série :
Catégorie d’Évènement:
indiens

23 août 1876
Réserves, traités et pensionnats : une politique de génocide culturel à l’égard des Autochtones?

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Le 23 août 1876, le gouvernement du Canada signe le sixième de 11 traités visant à déposséder les Autochtones de leurs terres, sur les anciens territoires appartenant à la Compagnie de la Baie-d’Hudson : la Terre de Rupert et le Territoire du Nord-Ouest. La même année, le Parlement du Canada adopte la Loi sur les Indiens. Un rapport du ministère de l’Intérieur stipule les objectifs de cette politique : «Notre législation au sujet des Sauvages, repose sur le principe que les naturels du pays doivent être tenus en état de tutelle, et qu’ils doivent être traités comme des pupilles et des enfants de l’État. […] Il est évidemment de bonne politique et de notre devoir de les préparer par l’éducation et par tout autre moyen, à un degré de civilisation plus élevé en les encourageant à se prévaloir de tous les droits de citoyens, et à en assumer les obligations.»

Cette volonté d’acculer les Autochtones à se fondre à la population canadienne atteint un point culminant avec la mise sur pied de «pensionnats autochtones» dans lesquels on regroupe les jeunes après les avoir arrachés à leur famille. En 2015, la juge en chef de la Cour suprême du Canada, Beverley McLachlin, n’a pas hésité à qualifier l’ensemble de cette politique de «génocide culturel».

En 1969, Pierre Elliott Trudeau et son ministre Jean Chrétien veulent officialiser l’assimilation des peuples autochtones en abolissant tout bonnement les réserves et le statut d’Indien. Les premiers intéressés ne voient pas la chose du même œil. Ils réclament le respect de leurs droits ancestraux et une autonomie gouvernementale. La politique du gouvernement canadien s’est assouplie depuis, mais les réserves et la Loi sur les Indiens existent toujours.

Entre-temps, une politique québécoise des relations avec les Autochtones du Québec prend forme. Tout dialogue avec une des nations autochtones doit débuter en réitérant le droit des 11 nations autochtones du Québec à l’existence et à la pérennité de leurs cultures, de leurs langues et de leurs traditions.

 

Pour en savoir plus :

Acte pour amender ou refondre les lois sur les Sauvages, 12 avril 1876, [en ligne]. [http://www.uqac.ca/…/upl…/2012/07/LoiIndiens1876Francais.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

SECRÉTARIAT AUX AFFAIRES AUTOCHTONES, « Moments marquants », [en ligne]. [https://www.autochtones.gouv.qc.ca/re…/moments-marquants.htm] (consulté 16 juillet 2017).

AFFAIRES AUTOCHTONES. ORIENTATIONS DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, Partenariat. Développement. Action. 1998, [en ligne]. [https://www.cerp.gouv.qc.ca/…/Documents_deposes_…/P-024A.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Début :
août 22, 2028
Fin :
août 23, 2028
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23 août 1876
Réserves, traités et pensionnats : une politique de génocide culturel à l’égard des Autochtones?

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Le 23 août 1876, le gouvernement du Canada signe le sixième de 11 traités visant à déposséder les Autochtones de leurs terres, sur les anciens territoires appartenant à la Compagnie de la Baie-d’Hudson : la Terre de Rupert et le Territoire du Nord-Ouest. La même année, le Parlement du Canada adopte la Loi sur les Indiens. Un rapport du ministère de l’Intérieur stipule les objectifs de cette politique : «Notre législation au sujet des Sauvages, repose sur le principe que les naturels du pays doivent être tenus en état de tutelle, et qu’ils doivent être traités comme des pupilles et des enfants de l’État. […] Il est évidemment de bonne politique et de notre devoir de les préparer par l’éducation et par tout autre moyen, à un degré de civilisation plus élevé en les encourageant à se prévaloir de tous les droits de citoyens, et à en assumer les obligations.»

Cette volonté d’acculer les Autochtones à se fondre à la population canadienne atteint un point culminant avec la mise sur pied de «pensionnats autochtones» dans lesquels on regroupe les jeunes après les avoir arrachés à leur famille. En 2015, la juge en chef de la Cour suprême du Canada, Beverley McLachlin, n’a pas hésité à qualifier l’ensemble de cette politique de «génocide culturel».

En 1969, Pierre Elliott Trudeau et son ministre Jean Chrétien veulent officialiser l’assimilation des peuples autochtones en abolissant tout bonnement les réserves et le statut d’Indien. Les premiers intéressés ne voient pas la chose du même œil. Ils réclament le respect de leurs droits ancestraux et une autonomie gouvernementale. La politique du gouvernement canadien s’est assouplie depuis, mais les réserves et la Loi sur les Indiens existent toujours.

Entre-temps, une politique québécoise des relations avec les Autochtones du Québec prend forme. Tout dialogue avec une des nations autochtones doit débuter en réitérant le droit des 11 nations autochtones du Québec à l’existence et à la pérennité de leurs cultures, de leurs langues et de leurs traditions.

 

Pour en savoir plus :

Acte pour amender ou refondre les lois sur les Sauvages, 12 avril 1876, [en ligne]. [http://www.uqac.ca/…/upl…/2012/07/LoiIndiens1876Francais.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

SECRÉTARIAT AUX AFFAIRES AUTOCHTONES, « Moments marquants », [en ligne]. [https://www.autochtones.gouv.qc.ca/re…/moments-marquants.htm] (consulté 16 juillet 2017).

AFFAIRES AUTOCHTONES. ORIENTATIONS DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, Partenariat. Développement. Action. 1998, [en ligne]. [https://www.cerp.gouv.qc.ca/…/Documents_deposes_…/P-024A.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Début :
août 22, 2029
Fin :
août 23, 2029
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indiens

23 août 1876
Réserves, traités et pensionnats : une politique de génocide culturel à l’égard des Autochtones?

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Le 23 août 1876, le gouvernement du Canada signe le sixième de 11 traités visant à déposséder les Autochtones de leurs terres, sur les anciens territoires appartenant à la Compagnie de la Baie-d’Hudson : la Terre de Rupert et le Territoire du Nord-Ouest. La même année, le Parlement du Canada adopte la Loi sur les Indiens. Un rapport du ministère de l’Intérieur stipule les objectifs de cette politique : «Notre législation au sujet des Sauvages, repose sur le principe que les naturels du pays doivent être tenus en état de tutelle, et qu’ils doivent être traités comme des pupilles et des enfants de l’État. […] Il est évidemment de bonne politique et de notre devoir de les préparer par l’éducation et par tout autre moyen, à un degré de civilisation plus élevé en les encourageant à se prévaloir de tous les droits de citoyens, et à en assumer les obligations.»

Cette volonté d’acculer les Autochtones à se fondre à la population canadienne atteint un point culminant avec la mise sur pied de «pensionnats autochtones» dans lesquels on regroupe les jeunes après les avoir arrachés à leur famille. En 2015, la juge en chef de la Cour suprême du Canada, Beverley McLachlin, n’a pas hésité à qualifier l’ensemble de cette politique de «génocide culturel».

En 1969, Pierre Elliott Trudeau et son ministre Jean Chrétien veulent officialiser l’assimilation des peuples autochtones en abolissant tout bonnement les réserves et le statut d’Indien. Les premiers intéressés ne voient pas la chose du même œil. Ils réclament le respect de leurs droits ancestraux et une autonomie gouvernementale. La politique du gouvernement canadien s’est assouplie depuis, mais les réserves et la Loi sur les Indiens existent toujours.

Entre-temps, une politique québécoise des relations avec les Autochtones du Québec prend forme. Tout dialogue avec une des nations autochtones doit débuter en réitérant le droit des 11 nations autochtones du Québec à l’existence et à la pérennité de leurs cultures, de leurs langues et de leurs traditions.

 

Pour en savoir plus :

Acte pour amender ou refondre les lois sur les Sauvages, 12 avril 1876, [en ligne]. [http://www.uqac.ca/…/upl…/2012/07/LoiIndiens1876Francais.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

SECRÉTARIAT AUX AFFAIRES AUTOCHTONES, « Moments marquants », [en ligne]. [https://www.autochtones.gouv.qc.ca/re…/moments-marquants.htm] (consulté 16 juillet 2017).

AFFAIRES AUTOCHTONES. ORIENTATIONS DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, Partenariat. Développement. Action. 1998, [en ligne]. [https://www.cerp.gouv.qc.ca/…/Documents_deposes_…/P-024A.pdf] (consulté 16 juillet 2017).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Début :
août 22
Fin :
août 23
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